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VIe Colloque international du Groupe d’Histoire des Zones Humides

LIEU : Centre archéologique européen du Mont-Beuvray – Glux-en-Glenne (Nièvre)
DATES : 9, 10 et 11 novembre 2017

« Le colloque international Zones humides et archéologie, organisé par le Groupe d’Histoire des Zones Humides (GHZH), avec le concours du Centre archéologique européen du Mont-Beuvray et du Parc naturel régional du Morvan, les 9, 10 et 11 novembre 2017, a pour objectif d’appréhender les zones humides au prisme de l’archéologie. Si les recherches sur les zones humides se sont développées ces dernières décennies, ce fut le fait des historiens, des sociologues, des juristes et surtout des géographes dans le cadre de grandes monographies régionales (Bresse, Dombes, etc.) ; l’archéologie n’est pourtant pas en reste. En effet, le développement spectaculaire de l’archéologie préventive en France à partir du début des années 1980 a multiplié les zones étudiées en nombre et en surface tout comme les données brutes et les informations « hors sites » de nouvelle nature : structures en creux naturelles (paléomarais, paléoméandres) ou anthropiques (mares, etc.). Cela a impliqué l’élaboration de marqueurs spécifiques – bio-indicateurs végétaux et animaux, sédiments – par les disciplines des archéosciences (palynologie, dendrologie, macro-restes végétaux).
Ces « productions du sol », ces nouveaux objets qui n’étaient pas support de questionnement pour l’archéologie « classique » deviennent alors des vecteurs de reconstitutions paysagères et paléoécologiques de reconnaissance de milieux humides. Et loin de les considérer comme des milieux uniformément répulsifs qui n’auraient d’intérêt que drainés et aménagés, les exemples archéologiques qui se sont multipliés un peu partout pointent au contraire la diversité de leurs modes de valorisation et, ce, de façon diachronique, mettent l’accent en somme sur la complexité de ces espaces qu’il s’agisse de tourbières, de zones humides littorales, de vallées alluviales ou encore de plaines.
Ce colloque souhaite également développer une approche comparatiste en portant une attention particulière aux expériences archéologiques menées ailleurs dans les pays européens – Pays-Bas, îles britanniques (« Wetland Archaeology Research Project » mené depuis plus de 30 ans par l’université de Bradford), Italie… – et extra-européens.
 »

Descriptif

Bulletin d’adhésion

Conférence internationale CLIMATE CHANGE & WATER 2018

Conférence internationale CLIMATE CHANGE & WATER 2018
Date et lieu : 5, 6 et 7 février 2018 Tours, France

« Le réchauffement climatique global est amené à bouleverser le fonctionnement des milieux, qu’ils soient naturels, anthropisés ou urbanisés. Le réseau MiDi (Milieux & Diversité), en partenariat notamment avec le pôle de compétitivité DREAM (Eau & Milieux), propose de s’intéresser aux modifications du cycle de l’eau de différents milieux, dans le contexte du changement climatique global. La conférence porte sur la déclinaison du changement climatique aux problématiques locales de l’eau et se tiendra du 5 au 7 février 2018 au Centre International de Congrès VINCI à Tours. »

Programme (fr)
Programme (en)

JOURNEES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES « Eaux…

JOURNÉES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES
« Eaux Pluviales & Végétal »

APPEL À COMMUNICATIONS
Date limite d’envoi des propositions : 15 JUIN 2017

Les pôles de compétitivité DREAM Eau&Milieux et VEGEPOLYS, en partenariat avec l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne et l’ADOPTA, s’associent pour organiser des Journées Scientifiques et Techniques sur les thématiques ‘Gestion intégrée des Eaux Pluviales’ et ‘Valorisation du végétal’.

Quand ? 11 & 12 sept 2017
Où ? Centre des Congrès VINCI, Tours (37)

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Workshop inter Zones Ateliers « Trame Bleue et Paysage »

Workshop inter Zones Ateliers « Trame Bleue et Paysage » Lundi 22 et Mardi 23 mai à Nantes

Dans le cadre des actions inter Zones Ateliers (CNRS, Allenvi), deux séminaires centrés sur la thématique des trames bleues et du paysage sont organisés en 2017.
Cette  première  rencontre  qui  associera  chercheurs  et  gestionnaires  (Métropole de  Nantes, EDENN) s’appuiera sur les actions déjà menées et permettra de découvrir les enjeux présents sur le site de Nantes.

Programme :
Lundi 22 mai
14h-­‐17h La vallée de l’Erdre, visite terrain et intervention
Rdv-­‐ Bateaux Nantais, Place Waldeck Rousseau (Tramway ligne 2 -­‐ arrêt Motte Rouge)
14h-­‐  Présentation  des  actions  menées  dans  la  vallée  de  l’Erdre  par  l’EDENN  (Entente  Départementale Erdre Navigable et Naturelle), Jean-­‐Luc Maisonneuve (Chargé de Mission Natura 2000 à l’EDENN)
15h-­‐ Croisière commentée sur l’Erdre (Bateaux Nantais)
17h-­‐ Circuit sur l’Ile de Nantes et traversée de la Loire en bateau bus
20h-­‐Diner à Nantes

Mardi 23 mai
9h -­‐13h Présentations en salle (Nantes Métropole, 2 Cours du Champ de Mars)
-­‐ Introduction du séminaire, rappel du contexte, Anne Honegger (ZABR, UMR 5600, ENS Lyon) et Sylvie Servain (ZAL, INSA CVL, CITERES)
-­‐  Présentation  d’actions  menées  à  Nantes,  Rémy  David  (Nantes  Métropole,  le  grand  débat sur la Loire) et Martine Staebler, (ancienne directrice du GIP Loire estuaire, membre de la commission du débat « Nantes, la Loire et nous »)
-­‐ « La trame bleue dans les projets urbains, premiers éléments d’analyse, cas de Lyon, Nantes et Strasbourg » Sylvie Servain (ZAL), Dominique Andrieu (ZAL, MSH Centre Val de Loire), Anne Honegger (ZABR, UMR 5600, ENS Lyon), Gilles Armani (consultant).
-­‐ Synthèse et perspectives

Contact
Sylvie Servain et Cécile Rialland-­‐Juin (06 81 73 00 96) sylvie.servain@insa-­‐cvl.fr, cecile.rialland-­‐juin@univ-­‐angers.fr

Journées d’étude « Zones humides alluviales et lits fluviaux des cours d’eau de faible énergie » Le Mans (ESGT), 27 et 28 Mars 2017.

Journées d’étude « Zones humides alluviales et lits fluviaux des cours d’eau de faible énergie »

Programme

27 mars (en salle) :

1) Quelques identifiants des cours d’eau de faible énergie :

  • Pierre Loicq : Modélisation de la température des rivières à l’échelle régionale : impact du temps de transfert (Loire).
  • Florent Cossalter : Évaluation de l’impact des seuils artificiels sur la dynamique sédimentaire à partir de l’analyse des formes fluviales – influence relative des caractéristiques des cours d’eau et des ouvrages.
  • Anne Julia Rollet : Les spécificités des ajustements morphologiques des cours d’eau de faible énergie sous l’influence des ouvrages et leur arasement.

2) Résultats de l’étude sur le fonctionnement morpho-dynamique du Loir moyen

  • Mathieu Bonnefond : Mesurer la dynamique des rivières de faibles énergie : définition d’un protocole et moyens mis en œuvre pour évaluer l’érosion fluviale du Loir en trois sites (Ruillé, Bruant, Cherré).
  • Jeannine Corbonnois : Sediloir, évaluation de l’érosion fluviale sur le Loir moyen : présentation et critique des principaux résultats.

3) Zones humides alluviales et échanges nappes-rivières :

  • Léonard Bernard Jannin : Modélisation des échanges nappes-rivières pendant un épisode de crue : application à un méandre de la Garonne ».
  • Mathieu Bonnefond : Étude de zones humides du fond de la vallée de la Sarthe amont influencées par des ouvrages hydrauliques : choix de sites et collecte et traitement des données.
  • Jeannine Corbonnois : Variation des niveaux d’eau (Sarthe et nappe souterraine) et variété des zones humides du fond de la vallée de la Sarthe amont.

28 mars (Sortie sur le terrain) :

  • Sarthe amont (Menil Broût, amont d’Alençon) : présentation de la vallée et rôle sur les zones humides et présentation du site et du dispositif de mesures du moulin de Ménil Broût.
  • Vallée du Loir (amont de Vaas) : présentation de la vallée du Loir et du site de Bruant.

Inscriptions possibles jusqu’au 10 Mars Bulletin d’inscription

Lettre d’information Ecoscope

La première lettre
ECOSCOPE publie sa première lettre et vous informe des actualités des observatoires de recherche sur la biodiversité et des acteurs sur les données, ainsi que sur le développement de l’infrastructure. ECOSCOPE est un pôle de données d’observation pour la recherche sur la biodiversité qui vise à en documenter et comprendre l’état et la dynamique, les mécanismes sous-jacents et construire les scénarios du futur de la biodiversité. L’infrastructure doit contribuer à mieux organiser la collecte, la gestion et la valorisation des données à travers l’accès distant à différents types d’observations de la biodiversité, pour la recherche et l’expertise. Bonne lecture !
L’équipe d’ECOSCOPE