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Les Zones Ateliers (ZA) se focalisent autour d’une unité fonctionnelle (un fleuve et son bassin versant, les paysages – agricole ou urbain – et la biodiversité, de l’antarctique à l’Afrique subsaharienne, ou le littoral, ou encore la vie dans des environnements caractérisés par une irradiation chronique d’origine naturelle ou naturelle renforcée) et y développent une démarche scientifique spécifique en s’appuyant sur des observations et expérimentations sur des sites ateliers, pour y mener des recherches pluridisciplinaires sur le long terme. Une ZA est donc, le plus souvent, un réseau de sites ateliers.
Les ZA sont organisées à l’échelle nationale en réseau, le Réseau des Zones Ateliers (RZA), Il permet d’étudier, à des échelles de temps et d’espace souvent emboîtées et sur différents territoires, les relations complexes entre activités humaines et fonctionnement des écosystèmes. Le RZA est reconnu comme Infrastructure de Recherche par le CNRS (INEE) et est labellisé par l’Alliance National de Recherche pour l’Environnement (ALLENVI), Système d’Observation et d’Expérimentation au long terme pour la Recherche en Environnement: SOERE RZA.
Olivier Ragueneau assure la Direction de l’IR de puis le 1er janvier 2021, il est l’Interlocuteur de l’INEE (tutelle de l’IR) et d’ALLENVI, et est responsable du déroulement des évaluations des ZAs.
Le Réseau des Zones Ateliers est membre du LTER Europe et du ILTER pour l’international.
Les Zones Ateliers (ZA) se focalisent autour d’une unité fonctionnelle (un fleuve et son bassin versant, les paysages – agricole ou urbain – et la biodiversité, de l’antarctique à l’Afrique subsaharienne, ou le littoral, ou encore la les environnements caractérisés par une irradiation chronique d’origine naturelle ou naturelle renforcée) et y développent une démarche scientifique spécifique en s’appuyant sur des observations et expérimentations sur des sites ateliers, pour y mener des recherches pluridisciplinaires sur le long terme. Une ZA est donc, le plus souvent, un réseau de sites ateliers.
Les ZA portent les écosystèmes (marins, montagnards, agricoles, fluviaux etc.) au centre du dispositif, considérant autant l’observation que l’analyseet l’expérimentation, ou bien les pratiques humaines sur ces milieux, mais aussi les fonctionnalités écologiques comme par exemple, les services écosystémiques. Elles sont en prise directe avec les acteurs de ce territoire et tout particulièrement les questionnements émanant du monde des gestionnaires, des politiques et des associations.
La compréhension de ces interactions implique une approche pluridisciplinaire incluant notamment les sciences de la nature, les sciences de la vie, les sciences humaines et les sciences de l’ingénieur dans un objectif de répondre à une question territoriale spécifique pouvant être élaborée en interaction avec les gestionnaires.
L’ensemble des ZA, au nombre de 14 actuellement, offre une diversité de situations contrastées et complémentaires du point de vue des milieux et des systèmes sociaux.
Les ZA selon les milieux naturels et des systèmes sociaux étudiés :
– Les grands fleuves ou grandes rivières et leur bassin versant : ZA Seine, ZA Loire, ZA Bassin du Rhône, ZA Moselle
– Les paysages selon un gradient climatique et anthropique : ZA Antarctique, ZA Alpes, ZA Arc Jurassien, ZA Armorique, ZA Plaine et Val de Sèvre, ZA Environnementale Urbaine, ZA Hwange, ZA PYGAR
– L’Interface Terre / Mer : ZA Brest-Iroise
– Ecologie, société et radioactivité naturelle : ZA Territoires Uranifères
Les ZA sont organisées à l’échelle nationale en réseau, le Réseau des Zones Ateliers, Il permet d’étudier, à des échelles de temps et d’espace souvent emboîtées et sur différents territoires, les relations complexes entre activités humaines et fonctionnement des écosystèmes.
Le réseau des Zones Ateliers est membre du LTER Europe et du ILTER pour l’international.
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Les Zones Ateliers (ZA) se focalisent autour d’une unité fonctionnelle (un fleuve et son bassin versant, les paysages – agricole ou urbain – et la biodiversité, de l’antarctique à l’Afrique subsaharienne, ou le littoral, ou encore la vie dans des environnements caractérisés par une irradiation chronique d’origine naturelle ou naturelle renforcée) et y développent une démarche scientifique spécifique en s’appuyant sur des observations et expérimentations sur des sites ateliers, pour y mener des recherches pluridisciplinaires sur le long terme. Une ZA est donc, le plus souvent, un réseau de sites ateliers.
Les ZA sont organisées à l’échelle nationale en réseau, le Réseau des Zones Ateliers (RZA), Il permet d’étudier, à des échelles de temps et d’espace souvent emboîtées et sur différents territoires, les relations complexes entre activités humaines et fonctionnement des écosystèmes. Le RZA est reconnu comme Infrastructure de Recherche par le CNRS (INEE) et est labellisé par l’Alliance National de Recherche pour l’Environnement (ALLENVI), Système d’Observation et d’Expérimentation au long terme pour la Recherche en Environnement: SOERE RZA.
Vincent Bretagnolle assure la Direction de l’IR, il est l’Interlocuteur de l’INEE (tutelle de l’IR) et d’ALLENVI, et est responsable du déroulement des évaluations des ZAs.
Le Réseau des Zones Ateliers est membre du LTER Europe et du ILTER pour l’international.
Les Zones Ateliers (ZA) se focalisent autour d’une unité fonctionnelle (un fleuve et son bassin versant, les paysages – agricole ou urbain – et la biodiversité, de l’antarctique à l’Afrique subsaharienne, ou le littoral, ou encore la les environnements caractérisés par une irradiation chronique d’origine naturelle ou naturelle renforcée) et y développent une démarche scientifique spécifique en s’appuyant sur des observations et expérimentations sur des sites ateliers, pour y mener des recherches pluridisciplinaires sur le long terme. Une ZA est donc, le plus souvent, un réseau de sites ateliers.
Les ZA portent les écosystèmes (marins, montagnards, agricoles, fluviaux etc.) au centre du dispositif, considérant autant l’observation que l’analyseet l’expérimentation, ou bien les pratiques humaines sur ces milieux, mais aussi les fonctionnalités écologiques comme par exemple, les services écosystémiques. Elles sont en prise directe avec les acteurs de ce territoire et tout particulièrement les questionnements émanant du monde des gestionnaires, des politiques et des associations.
La compréhension de ces interactions implique une approche pluridisciplinaire incluant notamment les sciences de la nature, les sciences de la vie, les sciences humaines et les sciences de l’ingénieur dans un objectif de répondre à une question territoriale spécifique pouvant être élaborée en interaction avec les gestionnaires.
L’ensemble des ZA, au nombre de 14 actuellement, offre une diversité de situations contrastées et complémentaires du point de vue des milieux et des systèmes sociaux.
Les ZA selon les milieux naturels et des systèmes sociaux étudiés :
– Les grands fleuves ou grandes rivières et leur bassin versant : ZA Seine, ZA Loire, ZA Bassin du Rhône, ZA Moselle
– Les paysages selon un gradient climatique et anthropique : ZA Antarctique, ZA Alpes, ZA Arc Jurassien, ZA Armorique, ZA Plaine et Val de Sèvre, ZA Environnementale Urbaine, ZA Hwange, ZA PYGAR
– L’Interface Terre / Mer : ZA Brest-Iroise
– Ecologie, société et radioactivité naturelle : ZA Territoires Uranifères
Les ZA sont organisées à l’échelle nationale en réseau, le Réseau des Zones Ateliers, Il permet d’étudier, à des échelles de temps et d’espace souvent emboîtées et sur différents territoires, les relations complexes entre activités humaines et fonctionnement des écosystèmes.
Le réseau des Zones Ateliers est membre du LTER Europe et du ILTER pour l’international.
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